PPP, décrochage et réforme du français


Stéphanie Rochon, directrice des communications et des affaires publiques
Fédération des comités de parents du Québec
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3. Les projets particuliers doivent venir des écoles et des parents
En entrevue avec Paul Arcand cette semaine, le ministre de l’Éducation a abordé plusieurs enjeux du réseau scolaire, comme le manque de personnel, la réforme de l’enseignement du français et les services aux élèves ayant des besoins particuliers. Il a aussi réitéré que les projets pédagogiques particuliers doivent venir des équipes-écoles, des parents et du conseil d’établissement. « Ça ne peut pas toujours être imposé d’en-haut », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le gouvernement s’est donné comme objectif que tous les élèves du secondaire aient accès à un projet pédagogique motivant et qu’il n’y ait plus de sélection pour ces projets.
2. Le taux de décrochage a augmenté durant la pandémie
Selon des données rendues publiques par l’Institut de la statistique du Québec, le décrochage scolaire a augmenté pendant la pandémie. En effet, le taux de sorties sans diplôme ni qualification au secondaire a atteint 16,3% en 2021-2022, comparé à 13,8% en 2020-2021. Ce taux était pourtant plutôt stable au cours des années précédentes, se situant autour de 14% depuis 2016-2017.
1. Réforme de l’enseignement du français
Le ministre de l’Éducation a partagé ses orientations en prévision de la réforme de l’enseignement du français au primaire et au secondaire. Ses objectifs sont d’améliorer le taux de réussite et d’intéresser les élèves à la culture québécoise. Cliquez ici pour lire l’article de La Presse détaillant ses sept orientations.
La Presse a également demandé à des jeunes du secondaire ce qu’ils pensaient des livres lus dans le cadre du cours de français et des activités pédagogiques qui sont proposées. Lisez le point de vue des jeunes en cliquant ici.
