Écarts de langage, embauche de personnel et enveloppes amputées


Stéphanie Rochon, directrice des communications et des affaires publiques
Fédération des comités de parents du Québec
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3. Des solutions aux écarts de langage
Le langage utilisé et la qualité des communications dans les écoles préoccupent autant le personnel que les élèves, selon les recherches d’Éric Morissette, professeur de l’Université de Montréal mandaté par le ministère de l’Éducation pour brosser un portrait de la situation. Des solutions pour transformer le climat scolaire existent en formant le personnel et en sollicitant la collaboration des parents. Pour lire l’article de La Presse, cliquez ici. Pour lire la nouvelle de l’UdeM, cliquez ici.
2. Embauche de personnel dans le réseau
Après avoir levé les plafonds d’heures travaillées, la ministre de l’Éducation a annoncé cette semaine qu’il serait possible d’embaucher jusqu’à 1400 personnes pour offrir des services aux élèves dans le réseau, en utilisant les fonds disponibles. Cependant, les postes de personnel de soutien sont difficiles à pourvoir et 1300 enseignants permanents ont quitté leur poste l’an dernier. Le code d’éthique des centres de services scolaires (CSS) est aussi remis en question par des acteurs du réseau.
1. Équilibre budgétaire plutôt que services aux élèves
Depuis la rentrée, les CSS peuvent retenir jusqu’à 20% de certaines enveloppes destinées aux écoles pour équilibrer leur budget. Cela cause des dommages dans la réussite des élèves puisque des sommes destinées au tutorat, aux activités parascolaires, aux sorties et à l’aide aux élèves ne peuvent être dépensées.
Mélanie Laviolette, présidente de la FCPQ, a réagi à l’actualité en éducation au micro d’Annie Desrochers à l’émission 15-18 de Radio-Canada, dénonçant que l’équilibre budgétaire est devenu plus important que les services aux élèves. Écoutez son entrevue ici.


