Quand l’épargne-études et la réussite scolaire vont de pair
Par l’équipe de Kaleido
| Cet article est publié dans le cadre d’un partenariat entre la Fédération des comités de parents du Québec et l’équipe de Kaleido. |
Au-delà de ses avantages financiers, le régime enregistré d’épargne-études (REEE) a de réels effets positifs sur la réussite scolaire des enfants. Selon une étude réalisée par Emploi et Développement social Canada en 2023, le taux d’inscription à un programme d’études postsecondaires est 30 % plus élevé chez les bénéficiaires de la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) que chez les jeunes qui ne l’ont pas reçue.
En effet, la poursuite des études après le secondaire et la santé financière sont intimement liées. Même que les étudiantes et étudiants qui ont bénéficié de la SCEE sont 7 % plus susceptibles d’obtenir un diplôme d’études postsecondaires dans les cinq premières années suivant leur inscription par rapport à celles et ceux qui ne l’ont pas reçue, comme le démontrent les chiffres du Programme canadien pour l’épargne-études (PCEE). Et puisque ces jeunes adultes auront eu recours à moins de prêts étudiants – ou pas du tout –, ils entreront sur le marché du travail avec un niveau d’endettement potentiellement moins élevé. Ce n’est pas un secret, le principal atout de l’épargne-études demeure financier et réside dans les généreuses subventions gouvernementales qui lui sont associées. Chaque enfant peut recevoir jusqu’à 12 800 $ du Canada et du Québec, essentiellement grâce à une bonification de 30 à 60 % de votre investissement dans un REEE. Certaines conditions s’appliquent et tous les détails sur les subventions se retrouvent sur le site du PCEE et à kaleido.ca.
Épargnez aujourd’hui pour vous enlever un stress financier
De nos jours, le financement des études des enfants est une préoccupation constante pour de nombreuses familles québécoises. Avec l’inflation et les taux d’intérêt, cela peut facilement devenir une source de stress financier pour le parent, mais aussi pour le jeune.
Posez la question autour de vous, et vous constaterez que la plupart desparents s’attendent à payer la majeure partie des études universitaires de leurs enfants.Pourtant, malgré les subventions disponibles en épargne-études, le PCEE nous apprend que le taux de participation à la SCEE était d’à peine 59,8 % au Québec en 2024. Comment se l’expliquer?
Une simple méconnaissance du REEE
Même si les REEE ont été créés dans les années 1970, seulement une minorité de parents connaissent bien le principe de l’épargne-études, ses avantages et sa flexibilité.
Penser qu’on a du temps devant nous
Lorsque les enfants sont jeunes, on a l’impression que les études postsecondaires sont loin devant nous. Toutefois, plus vous attendez avant d’épargner, moins vous pourrez profiter des subventions et de l’effet des rendements sur votre investissement.
La crainte que son enfant ne fasse pas d’études
D’abord, il y a plus de 8 000 programmes d’études admissibles, de la formation professionnelle à universitaire. C’est beaucoup de possibilités! Si, malgré tout, votre jeune ne poursuit pas ses études, différentes options s’offrent à vous : patienter (un REEE peut être ouvert pendant 35 ans!), transférer votre épargne ou encaisser celle-ci.
Croire qu’avec un REER ou un CELI, ça revient au même
Bien que les deux feront fructifier vos économies à l’abri de l’impôt, le REEE est le meilleur véhicule d’épargne pour les études, principalement grâce aux subventions offertes.
L’idée que ce n’est pas pour votre famille
En fait, le REEE est accessible à toutes les familles, peu importe leur niveau de revenu. Au Québec, chaque bénéficiaire peut obtenir au minimum 30 % en subventions gouvernementales sur les premiers 2 500 $ investis chaque année.
Considérer le coût des études postsecondaires
L’éducation publique est accessible au Québec et, pour ainsi dire, presque gratuite jusqu’à l’école secondaire. Le coût des études postsecondaires, lui, peut surprendre. Il y a les frais de scolarité ainsi que le coût de l’ordinateur et des livres, mais parfois aussi celui du logement, de l’épicerie et des différents frais de subsistance si votre enfant quitte la maison. Ces dépenses pourraient se chiffrer à 108 900 $ en moyenne si votre poupon poursuit un baccalauréat à l’extérieur de la maison plus tard.
Tirer profit d’un REEE individuel avec Kaleido
Parce que le stress financier a des impacts défavorables sur les parents, ainsi que sur la persévérance scolaire et la réussite scolaire des étudiantes et étudiants, l’épargne-études gagne à être mieux connue. En plus, les REEE individuels IDEO+ de Kaleido sont accessibles et flexibles, afin de s’adapter à votre réalité et à vos moyens.
Pour ces raisons, et pour profiter au maximum des subventions disponibles, il est préférable de commencer à épargner le plus tôt possible.
Envie d’en savoir davantage? Discutez avec une ou un membre de l’équipe Kaleido afin d’établir la meilleure stratégie d’épargne-études pour les besoins de votre famille. Vous aiderez ainsi votre enfant à atteindre son plein potentiel, et vous aurez l’esprit tranquille quant au financement de ses études postsecondaires.